
Nous avons choisi d’être dépendant de la population locale (aurait-il été possible autrement ?) demander l’hospitalité chaque soir, et provoquer des rencontres, contrairement à certains cyclistes « tourdumondistes » que nous avons croisés, qui se voulaient plus autonomes et indépendants .
En conclusion, ce qu’on en retire :
Ne pas appréhender l’inconnu mais aller de l’avant en écoutant un peu les autres et surtout soi-même… on trouve toujours de l’aide en chemin et rien n’est impossible (…ou peut-être la maudzite Skeleton Coast !)
Un parcours se prépare très peu à l’avance, ou 90 % se fait sur place – avec les gens.
Rester patient en Afrique est une clé pour éviter de se faire du mal : pour le stop, avec l’administration ou demander un simple renseignement à une caissière (2 d’tens’ dans certains villages !)
Apprécier désormais tout ce qui nous a manqué en chemin : le confort matériel, la nourriture de qualité (genre un bout de cantal !), les amis, la stabilité, un chez-soi…
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